les gagnants sont…Pour les tirages au sort :
- sur le blog : ANNIE
- sur facebook : Émilie Goubert
- sur Twitter : ILOVELADDOO
Ensuite, un grand grand merci ! c’était un bonheur de lire vos histoires ! et le choix a été très très difficile ! j’ai relu au moins 5 fois chaque histoire avec toujours beaucoup d’émotion. Et puis ayant trop de mal à faire mon choix, je les ait fait lire à des amis et donc…. roulement de tambour…
Je vous remet ici les textes que j’ai trouvé super :
La compagnie des doudous
jean-manu :.
Fatigué d’être seul ?
Ras-le-bol des câlins rêches et superficiels ?
Marre des oursons qui font des peluches ?
Nous avons la solution !
La compagnie des doudous vous présente sa gamme de doudous… très doux !
Plus qu’un doudou, c’est un ami. Avec la compagnie des doudous, finie la solitude, finies les angoisses. Bonjour les câlins ! Des câlins soyeux, tendres qui feront le bonheur des petits et des grands.
La compagnie des doudous : pour grands et petits, un doudou pour la vie.
=====
En ce moment, achetez un doudou, et gagnez un stage de câlin avec la compagnie des doudous !
(voire conditions dans les magasins participants…)
Kathleen Brun :
Alors ma p’tite histoire elle est vraie! ;)
Notre nom c’est Brun, donc on nous apel la compagnie des nounours brun. Un jour, la compagnie des nounours brun part en vacance dans le sud. Le plus petit des nounours brun emporte ses doudous partout avec elle. Il y a Nano et Nanette, le couple de lapins, Waffi le petit chien intrépide et enfin Moutonnet, le mouton a billes.
Le problème c’est que ce pauvre Waffi est malade en voiture. Il décide donc d’ouvrir la fenêtre pour respirer un grand coup d’air frais. Hélas, sur la bretelle d’autoroute le vent et trop fort et Waffi s’envole, pour retomber un peu plus loin au milieu de la voie.
Petit noubours se met à pleurer très fort. Maman s’arrête au bord de la route et décide de récupérer le doudou. Dans la voiture toute la famille à peur, car les voitures vont très vite. Finalement, Maman et Waffi reviennent sains et saufs et tous le monde peu profiter des vacances au soleil.
camille :
Il m’a aidé et m’aide encore lorsque j’ai appris que j’étais malade. Depuis Mars 2006, mon chat que j’ai élevé au biberon parce qu’il était dans un carton avec toute une portée au bord d’un ruisseau avec très peu d’eau (je n’ai pu en sauver que 2); il n’avait que quelques jours, les yeux pas encore tout à fait ouverts.. bref, je l’ai sauvé, et il me le rend bien!
Quand je suis triste ou que j’ai mal, c’est comme s’il le savait. Il monte alors sur moi, se couche, et se met depuis peu à me faire des petits calins avec sa patte! Faut le voir pour le croire!! Et quand j’ai mal, il se contente de se mettre tout contre moi pour me réchauffer, ou pour montrer tout simplement qu’il est là!
Il est donc aussi mon doudou, parce que la nuit, il vient se faufiler contre moi, me fait un calin ou deux, puis s’installe contre moi, et ne bouge plus jusqu’au lendemain.
Mon chat est tout pour moi!
Il s’approprie même de temps en temps mes propres doudous pour reposer sa tête!!
Ce chat est extraordinaire! Il ressent tout c’est impressionnant.
C’est MON chat, et j’y fais attention comme s’il était mon propre enfant. La comparaison peut paraître idiote, mais ne pouvant pas en avoir, je reporte tout mon amour sur lui (et mon chéri biensûr, mais c’est différent). Voilà l’histoire d’un doudou vivant et d’une adulte presque morte! ;)
Adèle :
Elle existe depuis toujours. Dès le dernier point de couture achevé, le nouveau doudou prend vie et va rejoindre cette magnifique Compagnie qui est composée de doudous de toutes les tailles, de toutes les formes, de toutes les couleurs! Alors, la nuit, lorsque les étoiles se mettent à scintiller dans le ciel, la Compagnie se met en marche, en silence et en se tenant la main. Les doudous regardent tour à tour, émerveillés, les enfants qui dorment doucement dans leurs petits lits. Et, dès qu’un lien se tisse entre un enfant et un doudou, lien si fin, quasi invisible comme le fil d’une toile d’araignée, mais si fort, le doudou quitte la Compagnie pour se glisser dans le lit de l’enfant et l’emmener vers des rêves colorés et enchanteurs…
Mais surtout, chut!, ne le répétez pas! ^^
annie :
Doux comme une caresse, ils sauront consoler!
Aux couleurs de l’arc en ciel ils sauront les accompagner!
Ils sauront rendre bébé heureux et resteront à ses côtés quoi qu’il arrive, on peut compter sur eux , ce sont des doudous sérieux!
Gab :
Je me met dans la peau de mon fiston ;)
Moi et mon doudou c’est un peu comme une histoire d’Amour; je le frotte contre ma joue comme un chiffon contre une lanterne magique, il libère le génie de mes rêves, me détends et me fais partir vers les horizons lointains du sommeil profond et j’y suis bien.
J’ai aussi mon gros doudou au bidon blanc, celui la c’est un peu mon confident, c’est à lui que je raconte ou sont mes cachettes secrètes, la ou j’enfouis tous les trésors que je ramène de mes rêves…
Y’a celui qui est marron aussi avec son nez tout pointu et sa mèche entortillé, lui il me fait trop rire !!
Je ne pourrais vivre sans la compagnie de mes doudous !
Charlotte :
He he! A mon tour!et d’avance désolé car j’ai fait une peu long!
Aucune peluche n’a été maltraitée pendant cette histoire. Toute ressemblance avec des personnages réels n’est pas fortuite. Ceci est une histoire vraie.
Barnabé se gratta la tête, il rejeta ses oreilles pelucheuses en arrière et décrocha son téléphone:
– Passez-moi mon adjoint!… Allo Jules?
– Oui inspecteur?
– On a une nouvelle affaire!
– Que s’est-il passé inspecteur?
– Barbie Coupe et coiffe s’est fait décapitée…
– Oh mon Dieu! C’est horrible!
– Oui je sais! Préviens Monsieur Pipou, rendez vous en bas de l’étagère de la salle de jeux !
– Très bien.
Barnabé se redressa sur ses pattes arrière et attrapa son insigne. Il occupait ce poste d’inspecteur à la brigade des nounours depuis bientôt cinq années. Un coup de chance, une kermesse, un billet de loto gagnant et la petite fille l’avait emmené… Un chien en peluche avec les oreilles tombantes et ce petit foulard autour du coup, voilà ce à quoi il ressemblait, mais ici, pour eux tous, il était l’inspecteur Barnabé et une nouvelle affaire l’attendait.
Au pied de l’étagère, Jules son jeune co-équipier l’attendait, un grand chat vert au corps mou et aux yeux perdu. « L’a trop été secoué par les gosses » disait le vieux Rhino. Mais pour ce job, il faisait l’affaire pensait Barnabé. A coté de lui Mr Pipou était penché sur Barbie Coupe et coiffe en deux morceaux.
-Alors Pip’ ? Qu’en dis-tu ?
L’oiseau rondouillard fit frissonner sa crête et couina :
-J’en dit : torsion arrière au niveau du cou. Les dommages sont graves mais pas irrémédiables, on peut réparer, mais elle aura les mêmes séquelles que les autres…
-Oui je vois, cou enfoncé jusqu’aux épaules. Envoyez-la au service réparation. Jules qu’on dit les témoins ?
-Toujours la même chose, ils n’ont rien vu, ils ne veulent pas parler.
-Mmmh, la peur sans doute….
-Il y a autre chose nous avons remarqué que la brosse de Barbie avait disparu et ce n’est pas tout nous avons un cheveu et des empreintes !
-Parfait, mais j’ai déjà un suspect ! Les analyses nous le confirmeront.
-Inspecteur vous êtes trop fort !
-Je sais Jules je sais, cesse de me lécher les pattes ça m’incommode !
Les deux flics reprirent la route vers le labo, échantillons en main.
Le labo se trouvait dans la grande dinette « Tommy » rouge et jaune. Au milieu des frites et des brocolis en plastique, Darwin dormait. Le dauphin était lové dans le faux évier. Jules ne le vit pas et lui marcha sur la queue. Darwin poussa un ricanement strident : « WHOUHIAHAHAHI… !
-Oups pardon !
-Bon sang Jules ! Fais un peu attention ! Excuse le Darwin. » Barnabé serra la nageoire du dauphin. « Voici les échantillons. » Darwin fit la moue et pencha son long nez sur les preuves. Il commença : « Mmmh… Cheveux provenant d’un sujet féminin, sans aucun doute. Raide, mi-long, châtain… Et ça, empreinte de doigt humain, vu la taille je dirais un enfant.
-J’en étais sur ! » s’écria Barnabé
-Quoi chef ?! Vous avez trouvé ?
-Bien sur Jules c’est évident voyons ! Les preuves sont là !
-Mais comment faites-vous.
-C’est très simple : j’avais déjà des soupçons après l’affaire des poupées Barbie Disney, c’était le même mode opératoire. Il m’a suffit de dresser le profil psychologique du suspect. Il s’agit d’une petite fille qui se sert d’une brosse à cheveux sur les poupées. Mathilde empreinte les poupées de ses sœurs en cachette et elle veut les coiffer, mais les cheveux d’une Barbie s’emmêlent tout le temps, comme chacun sait, elle a donc trop tiré en arrière ce qui a eu pour résultat de casser le mécanisme de rotation du cou.
-Incroyable… Vous avez réussi à démêler ce casse-tête inspecteur !
-Mmmh, pas de mauvais jeu de moi, Jules.
-Mais comment allons-nous empêcher Mathilde de faire d’autre dégâts ?
-C’est simple Jules. Cachons toutes les brosses de la maison. Sans arme pas de crime. Elémentaire mon cher Jules.
-Bien joué inspecteur.
-Attention, elle arrive !!!
Mathilde entre dans la salle de jeux.
marine :
» Il y a de cela bien longtemps, quand papi Chinook était un enfant, un tout petit petit chaton, il partit explorer une grande grande maison.
Il avait entendu un soir, le papa de sa maîtresse Eugénie raconter une histoire. Cette histoire disait que dans la maison, vivaient des doudous : des moutons, des lapins ou encore des loups. Pour amuser les enfants lorsqu’ils avaient des punitions, les doudous venaient en cachette et faisaient plein de pirouettes et galipettes.
Chinook le chaton, intrigué par cette drôle d’histoire, voulut à tout prix les voir.Glissé sous la couette de sa maîtresse Eugénie, il attendit tout l’après-midi. Soudain, un doudou loup s’approcha du petit chat :
» Tu es un drôle de doudou, puis-je savoir d’où viens-tu?
– Je ne suis pas un doudou, je suis un petit chat. Je suis venu sur le lit pour connaître ta compagnie.
Le doudou loup rit bien fort.
– Quand les papas et mamans se fâchent et grondent les enfants, nous sortons des placards pour aller les voir. Nous séchons leurs larmes et les apaisons, voilà notre mission!
– Ma foi, même si je suis un petit chat, j’aimerais faire comme toi. Être là pour Eugénie lorsque la tristesse noircit sa vie! Je veux faire partie de ta compagnie! »
Le doudou loup donna son accord de bon cœur et le petit Chinook fit partie de la compagnie des doudous protecteurs.
Quand Chinook devint grand, il apprit à ses petits chatons à câliner les enfants, comme notre papa et notre maman. »
Blotti contre sa grande sœur, au plus près de son cœur, Pouchkine s’endormit paisiblement. Il rêva ce soir là qu’il était un chaton courageux et qu’avec les doudous valeureux, il protégeait les enfants malheureux.
sophie :
Pour la petite histoire de doud, je ferais bref. Mon doudou a moi était un petit ourson en peluche blanc. C’était un petit doudou banal comme tous les enfants en ont mais c’était mon doudou! Il partageait ma vie, mes joies et mes peines. Je me souviens même que quand je me suis fait opérer de l’appendicite, j’avais tellement peur qu’il est venu en salle d’opération avec moi. A mon réveil et il avait un gros pansement sur le ventre, lui aussi avait été opéré lol. Les infirmières prenaient soin de lui quand elles prenaient soin de moi …
Et puis j’ai grandi, j’ai eu des enfants. Mon doudou est devenu celui de Laure. Il a partagé sa vie, ses joies et ses peines.
Maintenant que Laure a 12 ans il est devenu le doudou de Juliette il partage sa vie, ses joies et ses peines.
Je trouve adorable de voir comme ce petit nounours de rien du tout peut prendre tant de place dans la vie d’une famille
Tu crois que mes petits enfants le prendront aussi comme doudou?
A suivre … On verra bien
Pablo :
C’est l’histoire d’une grenouille, une toute petite grenouille, Bertie la petite grenouille, n’est pas une grenouille ordinaire, c’est une grenouille toute douce, toute gentille. Dès qu’on veut la câliner, la caresser, la déplacer, elle est d’accord et du coup elle rend heureux. Normal, Bertie, la petite grenouille est un doudou. C’est le doudou de Pascaline, une petite fille de 4 ans, et Bertie est présente tout le temps, à table, dans le lit, chez mamie,…
Pascaline n’abandonnera jamais Bertie, c’est son doudou préféré, elle joue avec depuis toute petite. Il n’y a pas un moment où elle ne s’occupe pas d’elle. Ses parents ne comprennent pas toujours pourquoi Pascaline aime tant Bertie, ils ne veulent pas que Bertie soit dans le bain avec Pascaline, et il ne veulent pas non plus que Pascaline prenne Bertie à l’école…
Un jour alors que la maîtresse de l’école maternelle de Pascaline demande un dessin de la montagne, elle annonce que l’école va organiser un voyage… un voyage de 2 jours à la montagne pour découvrir la neige !
Le soir, à la maison, les parents et Pascaline sont heureux et chante de bonheur à l’idée que leur petit trésor va découvrir la blanche et fraîche neige…
Pascaline et sa maman en faisant la valise, se dispute à propos de Bertie, en effet la maman de Pascaline veut que Bertie reste ici alors que sa fille veut la prendre dans sa valise, après un long moment de promesse et de pleure, Bertie part à la neige ! ! ! ! !
Bertie, la toute petite grenouille va pour la première fois à la neige et se sent à l’aise dans le sac de Pascaline, elle n’a pas peur, Pascaline est là pour la rassurer.
Pourtant le 2ème jour, Bertie était dans les bras de Pascaline, et Patrick (le n’amoureux de Pascaline) l’invita à construire un bonhomme de neige, elle accepta et après un gros câlin déposa Bertie sur un rocher pour qu’elle puisse admirer la jolie construction.
Mais la neige tombant et Pascaline jouant longtemps, longtemps, longtemps, à la nuit tombée, impossible de retrouver la toute petite grenouille Bertie…
De retour à la maison, et après 3 semaine à pleurer et ne faire que penser à Bertie, Pascaline sortit de sa chambre et alla voir ses parents : « maman, papa, je suis grande maintenant, j’ai 5 ans et ½ ! j’aime bertie, je l’oublierai jamais, c’est comme pour papi michel, il est dans mon cœur pour toute ma vie. », et elle mis tous ses autres doudous et ses tototes à la poubelle.
Pascaline a grandit, elle a 14 ans, elle est au collège et s’en va au ski avec sa classe dans une station qu’elle connaît puisque 9 ans plus tôt, elle y perdit Bertie…
Se promenant dans le chalet avec une amie, elles regardèrent dans une vitrine où des voyageurs y avaient déposés des souvenirs…
Tout d’un coup, Pascaline poussa un cri et des larmes se mirent à couler le long de ses joues, Bertie était là au milieu de la vitrine…
Après avoir raconter son histoire à toute sa classe, toutes les filles et même les garçons étaient émus et le professeur ouvra la vitrine et lui remis Bertie !
A ce moment là, tous les sentiments que Pascaline avait pour Bertie sont réapparue et elle en fut surprise, autant que ses parents quand il apprirent la nouvelle
Depuis Pascaline vient d’avoir un arrière petit enfant, et tout comme sa fille et sont fils, tout comme ses 3 petits enfants, lola cette arrière petite-fille aura en cadeau, une grenouille, une toute petite grenouille, une grenouille peu ordinaire, une grenouille toute douce, toute gentille, Bertie la petite grenouille…
C’est l’histoire de la petite souris, celle qui passe sous l’oreiller quand on a perdu une dent.
Vous n’imaginez pas le travail que cela représente pour une pauvre petite bête, que de devoir porter toutes ces pièces à chaque enfant qui a perdu une dent.
Mais attention! La petite souris n’aime pas les tricheurs.
En effet, un jour, Hector un petit garçon gâté par ses parents, jamais satisfait de ses cadeaux, voulant toujours plus, décida de s’arracher plusieurs dents en même temps pour avoir plus de pièces sous son oreiller.
Il appela son ami Arthur, un petit voisin qui ne faisait jamais d’histoire, qui voulait bien jouer avec lui, mais qui avait tellement peur de lui qu’il acceptait toujours tout et même de faire des bêtises. … Afficher davantage
– Allo? Arthur, faut que tu viennes tout de suite, j’ai un plan.
-Je ne sais pas,si j’ai le droit, ma maman doit m’amener chez le dentiste pour me faire arracher une dent…
-ben justement! s’écria Hector! Viens!
Aussitôt dit , aussitôt fait Arthur arrive chez son voisin.
– voilà le plan dit Hector, je vais t’accrocher une ficelle à ta dent, tu vas fermer les yeux, tu vas entendre un grand bruit, et ce soir tu auras des sous sous ton oreiller.
-tu veux dire que tu veux m’arracher ma dent?
-en quelques sortes… je veux voir si ça fait mal, et après tu m’en arracheras quatre!
Arthur tout tremblant pense à son rendez-vous chez le dentiste, mais après tout, la petite souris ne passe jamais chez lui, ni le Père Noël d’ailleurs. Alors l’appât du gain lui fait accepter cette drôle de proposition.
Hector, accroche la ficelle à la porte de sa chambre et part en courant et en claquant la porte bien sûr.
A ce moment-là Arthur ressent une terrible douleur dans sa mâchoire, il pleure très fort, il y du sang partout sur sa chemise, il va sûrement se faire gronder par le dentiste. Que faire?
Dans la chambre soudain silencieuse, une petite voix se fait entendre:
– dis-donc! Tu crois que je n’ai pas vu votre manège? J’en ai assez d’être obligée de porter des suppléments de pièces aux petits tricheurs comme vous!
Arthur regarde autour de lui, rien, puis, il sent quelque chose qui lui gratte la cheville, et baissant le regard il aperçoit la petite souris.
-ohhh! ben ça! vous existez alors pour de vrai?
-pfffffffff! ben oui!
– mais alors, que me voulez-vous, vous ne venez jamais chez moi?
-voilà, nous nous sommes réunis avec la compagnie des doudous, nous en avons assez de voir que tu es le jouet de ce vilain Hector.
Nous allons lui donner une bonne leçon.
Rendez-vous ce soir dans ta chambre au clair de lune. Et maintenant, sauve-toi avec que ton tortionnaire ne revienne, et je te rappelle que tu as un rendez-vous!
Arthur prend ses jambes à son cou et rentre chez lui. Evidement il se fait gronder comme jamais, mais il est tellement étonné de ce qui vient de lui arriver qu’il n’entend même pas les réprimandes de sa maman.
De retour de chez le dentiste, Arthur se sent mieux, les soins l’ont bien soulagé, et puis sa dent malade ne le fait plus souffrir.
Impatient, il mange vite sa soupe et monte les escaliers quatre à quatre pour aller se coucher.
Ses parents le regardèrent d’un air surpris mais étaient bien content qu’il soit si sage pour une fois.
Arthur se coucha et attendit le clair de lune.
Au moment venu, il s’était endormi, c’est alors qu’il entendit des petit grattements, des petits couinements et autres bruits de petites bêtes. Lorsqu’il ouvrit les yeux, quelle ne fût pas sa surprise de voir une vingtaine de souris, lapins, petits ours, et bien d’autres sortes encore de petits animaux tous plus adorables les uns que les autres.
Arthur se frotta les yeux, mais non, il ne rêvait pas,ils étaient bien là!
– Nous voulons te confier un secret: nous ne porterons pas de pièces à ce vilain Hector, il ne les mérite pas. Tu vas nous dire où se trouve la clé de sa chambre et nous allons lui remonter les bretelles.
Arthur accepta volontier de les aider et d’un trait tous les doudous disparurent.
Tous, sauf un petit mouton, qui pleurait parce qu’il avait perdu sa maman dans ce départ précipité.
Attendri, Arthur le pris dans ses bras et le mis à côté de lui près de son oreiller.Et sans s’en rendre compte, il se rendormit.
Le lendemain matin, notre ami se réveilla en sursaut, il ne faisait pas encore bien jour, vite il regarda près de son oreiller, mais le petit mouton n’était plus là, il avait dû repartir avec sa maman.
Tant pis soupira-t-il… puis il se rallongea, mais en passant sa main sous son oreiller, il sentit un papier. C’était une lettre:
« Cher Arthur,
Nous avons accompli notre mission avec succès, la clé était difficile d’accès mais Georgette la girafe nous a été d’un grand secours.
Tu demanderas à ton imbécile de voisin ce que nous lui avons laissé et tu vas bien rire!
Madame Câline te remercie d’avoir pris soin de son petit. Et pour te remercier nous souhaitons que tu deviennes son gardien pendant la nuit, comme ça nous serons plus tranquilles pour nos expéditions et missions.Serais-tu d’accord pour t’en occuper? nous te l’amènerons tous les soirs quand tu seras couché.
A bientôt.
La petite souris, chef de la Compagnie des doudous »
Arthur sauta de joie, il était heureux d’avoir la responsabilité de ce nouveau petit compagnon, et surtout en secret!
dans la matinée, Arthur alla sonner chez Hector. Il trouva son voisin qui faisait grise mine.
– Alors? ça a marché ton plan? tu as eu beaucoup de pièces?
-Tu penses, répondit Hector l’air déçu, je n’ai pas eu de pièces du tout… j’ai eu une tétine, comme les bébés.
-Arthur ne put s’empêcher de rire!
Elle est un peu farceuse la souris non?
-De toutes façons, moi je n’y crois plus à la souris, ce sont des histoires pour les bébés…
-et toi? tu as eu quelque chose?
-moi, non rien …